
Nous avons hâte de vous montrer comment Shyfter peut vous faire gagner un temps précieux dans la gestion de vos plannings.
Demander une démoProfitez d’une version complète de Shyfter et commencez à planifier ou suivre le temps de travail en moins de 5 minutes.
Créer un compte gratuitAbsolument. Voici la réécriture de la section sur le congé de maternité, en adoptant un ton humain, expert et naturel, tout en respectant scrupuleusement les consignes.
Le congé de maternité en Belgique est un droit fondamental pour toutes les travailleuses, qu'elles soient salariées ou chômeuses indemnisées. D'une durée totale de 15 semaines, il est pensé pour protéger la santé de la maman et de son enfant, avant et après l'accouchement.
Préparer l'arrivée d'un enfant est une aventure qui demande une sacrée organisation, autant à la maison qu'au bureau. Le congé maternité en Belgique est justement structuré pour apporter un maximum de flexibilité et de sécurité aux futures mamans. Il ne s'agit pas d'un simple bloc de 15 semaines, mais de deux phases bien distinctes, chacune avec ses propres règles du jeu.
Cette première partie va vous aider à y voir plus clair. Que vous soyez une future maman en train de planifier son absence ou un manager RH qui doit anticiper une réorganisation d'équipe, bien comprendre ces bases est la première étape pour une gestion sereine et sans accroc.
Le congé de maternité se divise en deux grandes périodes : le repos prénatal (avant l'accouchement) et le repos postnatal (après la naissance). Cette distinction est cruciale pour calculer la durée totale de l'absence et organiser une transition en douceur.
Cette structure permet à chaque travailleuse d'adapter son congé à son état de santé et à ses envies, tout en garantissant un temps de récupération minimum après l'arrivée du bébé.
La durée légale standard a été pensée pour trouver le bon équilibre entre les besoins de la mère et les impératifs de l'entreprise. Mais la loi a aussi prévu des mécanismes pour s'adapter à chaque situation.
La durée totale du congé de maternité est de 15 semaines. Elle se décompose en 6 semaines de repos prénatal et 9 semaines de repos postnatal. La semaine juste avant la date présumée de l'accouchement est toujours obligatoire.
Les 5 autres semaines avant la naissance sont facultatives. Si vous vous sentez en pleine forme et que vous décidez de ne pas les prendre (ou de n'en prendre qu'une partie), bonne nouvelle : vous pouvez les reporter juste après vos 9 semaines de repos postnatal. C'est une super option pour prolonger un peu le temps passé avec votre nouveau-né.
Pour vous aider à visualiser l'ensemble, ce tableau résume les différentes composantes et durées du congé de maternité.
| Type de repos | Durée standard | Spécificités et conditions |
|---|---|---|
| Repos prénatal | 6 semaines | Inclut 1 semaine obligatoire avant la date présumée d'accouchement. Les 5 semaines restantes sont facultatives. |
| Repos postnatal | 9 semaines | Période obligatoire qui commence le jour de la naissance. |
| Report de semaines | Jusqu'à 5 semaines | Les semaines prénatales non prises peuvent être ajoutées au repos postnatal. |
| Total du congé | 15 semaines | Durée totale standard pour une naissance simple. |
Comme vous pouvez le voir, le système offre une vraie marge de manœuvre pour organiser au mieux cette période si particulière.
En Belgique, la durée de 15 semaines peut même être étendue. Pour une naissance multiple (jumeaux, triplés...), elle passe à 17 ou 19 semaines. Pour vous assurer de bien comprendre toutes les nuances et les cas spécifiques, le mieux est de consulter les informations détaillées sur le site de l'INAMI, qui est la source de référence en la matière.
La durée de base du congé maternité en Belgique est de 15 semaines, mais il faut voir ce chiffre comme un point de départ. Le système belge a été pensé avec pas mal de flexibilité, ce qui permet d'adapter la durée de l'absence à des situations bien précises. Bien comprendre comment ça marche est essentiel, autant pour la future maman que pour l'employeur qui doit s'organiser.
L'erreur classique, c'est de voir le congé maternité comme un bloc rigide. C'est tout le contraire. Imaginez-le plutôt comme un ensemble de modules, avec des périodes obligatoires et des options que vous pouvez activer selon votre situation. Cette vision des choses change tout pour bien anticiper et gérer les équipes sans stress.
La clé de cette flexibilité se trouve dans la gestion du repos prénatal. Sur les 6 semaines prévues avant la naissance, seule la toute dernière semaine est strictement obligatoire. Les 5 semaines restantes sont facultatives : vous pouvez les prendre, ou alors les reporter entièrement ou en partie pour après l'accouchement. Une bonne manière de prolonger le temps passé avec votre bébé une fois qu'il est là.
Ce petit schéma vous aidera à visualiser les différentes phases du congé maternité, de la période avant la naissance jusqu'à la fin du repos après.

On y voit très clairement comment les semaines facultatives peuvent basculer de "avant" à "après" la naissance, allongeant d'autant le congé postnatal.
L'arrivée de jumeaux, de triplés ou plus, c'est un événement exceptionnel qui demande une protection renforcée. La loi belge en tient parfaitement compte en prolongeant la durée du congé maternité.
Dans ce cas de figure, la durée totale du congé passe de 15 à 19 semaines. Cet ajout de 4 semaines a pour but d'offrir un temps précieux de repos et d'organisation, franchement indispensable quand on accueille plusieurs bébés en même temps. La répartition reste flexible, mais les 9 semaines de repos postnatal obligatoire, elles, ne bougent pas.
Une autre situation qui peut changer la donne, c'est si votre nouveau-né doit être hospitalisé. Si votre bébé doit rester à l'hôpital plus de 7 jours juste après sa naissance, vous avez droit à une prolongation de votre congé postnatal.
Cette prolongation est égale au nombre de jours d'hospitalisation au-delà des 7 premiers jours. Attention, il y a quand même une limite : cette extension ne peut pas dépasser 24 semaines au total.
Exemple concret
Imaginons que votre bébé soit hospitalisé pendant 30 jours après sa naissance. Votre congé postnatal peut être prolongé. Le calcul est simple : 30 jours d'hospitalisation - 7 premiers jours = 23 jours de prolongation. Votre repos postnatal sera donc rallongé de 23 jours.
Un point super important : il ne faut pas confondre une incapacité de travail (un certificat médical classique) et le repos prénatal. Si vous tombez malade durant les 6 semaines qui précèdent la date prévue de l'accouchement, ces jours de maladie sont automatiquement considérés comme du congé prénatal.
La conséquence est directe : ces jours d'incapacité ne pourront pas être reportés après l'accouchement. Seules les semaines de repos prénatal facultatives que vous choisissez de ne pas prendre alors que vous êtes apte au travail peuvent être basculées.
Pour une gestion au top, que vous soyez employée ou manager, il est donc crucial d'anticiper ces différents scénarios. Un outil de gestion des plannings comme Shyfter peut vraiment aider à visualiser l'impact de ces absences sur l'organisation de l'équipe, en permettant d'ajuster les horaires en quelques clics et de prévoir les remplacements sans se prendre la tête. Quand la durée réelle de l'absence est claire, ces règles un peu complexes deviennent un outil de planification prévisible pour tout le monde.
Oubliez le casse-tête administratif du congé maternité en Belgique. Cette section est conçue comme un véritable plan d'action, une feuille de route chronologique pour vous guider sereinement à travers toutes les formalités. Que vous soyez future maman ou gestionnaire RH, suivre ces étapes garantit un processus fluide et sans accroc.
L'organisation, c'est la clé. En anticipant chaque démarche, on évite les retards de paiement et le stress inutile, ce qui permet de se concentrer sur l'essentiel : l'arrivée de bébé. Pour l'entreprise, une procédure claire assure une gestion rigoureuse et professionnelle du dossier.

Le premier réflexe à avoir, c'est d'informer officiellement votre employeur de votre grossesse. C'est une démarche cruciale, car c'est elle qui déclenche votre protection légale contre le licenciement. Un point non négligeable.
Concrètement, vous devez lui remettre un certificat médical qui atteste de votre état et mentionne la date prévue de l'accouchement. Mon conseil ? Transmettez-le par lettre recommandée ou demandez un accusé de réception pour garder une preuve écrite. Faites-le au plus tard 7 semaines avant la date présumée de l'accouchement (ou 9 semaines s'il s'agit d'une naissance multiple).
La mutuelle devient votre principal interlocuteur financier pendant votre congé. C'est elle qui vous versera vos indemnités de maternité, il est donc essentiel de la prévenir sans trop traîner.
Dès que vous avez prévenu votre employeur, prenez contact avec votre mutuelle pour demander les documents nécessaires à la constitution de votre dossier. Elle vous fournira un formulaire spécifique, souvent appelé "feuille de renseignements", que vous et votre employeur devrez compléter chacun de votre côté.
N'attendez pas la dernière minute. Une demande d'indemnités introduite en retard peut entraîner un décalage dans le versement de vos allocations. Anticiper cette démarche, c'est s'assurer une tranquillité d'esprit financière dès le début du congé.
Pour que votre dossier soit complet et traité rapidement, mieux vaut avoir tous les papiers sous la main. Une petite checklist peut vous sauver la mise et vous éviter des allers-retours administratifs frustrants.
Voici les documents indispensables :
Du côté des services RH, il est primordial de traiter ces documents avec diligence. Une fois l'information reçue, la déclaration de début d'absence doit être correctement enregistrée. Une gestion efficace de la Dimona, par exemple, est une obligation légale qui assure la continuité de la couverture sociale de la salariée. Pour approfondir ce sujet, n'hésitez pas à consulter notre guide expliquant ce qu'est la Dimona et son importance.
En suivant ce plan, vous transformez une procédure qui peut sembler complexe en une série d'actions simples et logiques, assurant une transition en douceur vers votre congé maternité.
Quand on évoque le congé maternité en Belgique, on pense immédiatement aux aspects financiers. Rassurez-vous : votre mutuelle prend le relais de l’employeur et vous verse des indemnités pour préserver votre revenu.
Derrière ce mécanisme, un calcul se base sur un pourcentage de votre salaire brut journalier. Ce taux évolue avec le temps, ce qui influe directement sur votre budget familial. Pour les gestionnaires de paie, maîtriser ces règles, c’est anticiper les ajustements sur la fiche de paie et éviter tout couac administratif.

Les premières semaines sont cruciales : votre mutuelle vous verse 82 % de votre salaire brut journalier.
Ce taux avantageux a été pensé pour limiter l’impact financier des premiers jours, souvent les plus chargés en changements. Gardez à l’esprit que le calcul se base sur un salaire brut plafonné : tout euro au-delà du plafond légal ne compte pas pour le calcul.
À partir du 31ᵉ jour, le taux descend à 75 % de votre salaire brut journalier plafonné.
Comprendre cette différence est essentiel : même si la baisse paraît légère, elle peut modifier votre plan de dépenses familiales.
Pour illustrer, prenons un exemple concret :
Notez que ces montants sont bruts : précomptes et cotisations peuvent s’appliquer.
Lorsque le congé maternité démarre, le contrat de travail est suspendu : l’employeur ne paie plus le salaire et devient le relais administratif entre la salariée et la mutuelle. Une bonne coordination évite les retards de paiement.
Pour assurer un traitement sans faille, il convient de :
La clé du succès réside dans la communication fluide entre l’entreprise, la salariée et la mutuelle. Faire appel à un secrétariat social expérimenté simplifie grandement ces échanges. Découvrez les partenaires secrétariats sociaux qui s'intègrent avec Shyfter, et automatisez une partie de ces démarches pour garantir tranquillité d’esprit à tous les acteurs.
Le congé maternité en Belgique, c'est bien plus qu'une simple absence planifiée. C'est un cadre légal très précis, conçu pour équilibrer les droits et les devoirs de la salariée et de son employeur. Bien comprendre ces responsabilités mutuelles est la clé pour que tout se passe bien, dans le respect de la loi et de chacun.
Pour l'employée, cette période rime avec protections renforcées. Pour l'employeur, elle implique une série d’obligations pour garantir la sécurité et le bien-être de sa collaboratrice, tout en assurant la continuité des activités. Naviguer dans ce cadre avec clarté permet de transformer une période de grand changement en une expérience positive pour tout le monde.
Dès l'instant où votre employeur est officiellement au courant de votre grossesse, vous bénéficiez de protections spécifiques. Ce ne sont pas des faveurs, mais bien des garanties légales solides, pensées pour vous permettre de vivre votre grossesse et votre maternité en toute sérénité.
L'un des droits les plus importants est la protection contre le licenciement. Elle démarre dès que l'employeur est informé de la grossesse et court jusqu'à un mois après la fin de votre congé de maternité. Un licenciement pendant cette période n'est possible que pour des motifs graves qui n'ont absolument rien à voir avec votre état.
Vous avez aussi le droit de vous absenter du travail, en conservant votre rémunération, pour vous rendre à vos examens prénataux s'il est impossible de les planifier en dehors de vos heures de travail.
Au-delà de ces protections, la loi sécurise votre avenir professionnel dans l'entreprise. À votre retour, vous avez le droit de retrouver votre poste. Si ce n'est pas possible, l'employeur doit vous proposer un poste équivalent, tant en termes de responsabilités que de salaire.
L'employeur a un rôle actif à jouer pour veiller à la santé et à la sécurité de sa salariée enceinte. Ses responsabilités commencent bien avant le début du congé et se poursuivent jusqu'à sa réintégration.
La toute première étape, et c'est crucial, est de réaliser une analyse des risques. L'employeur doit évaluer si le poste ou les conditions de travail représentent un danger pour votre santé ou celle de votre futur enfant.
Si un risque est détecté (comme l'exposition à des produits chimiques, le port de charges lourdes, ou des horaires de nuit), l'employeur doit agir sans tarder. Les solutions peuvent être :
Enfin, l'employeur doit soigner la préparation de votre retour. Garder le contact pendant l'absence, planifier les modalités de la reprise et s'assurer que votre réintégration se passe en douceur sont des devoirs qui font toute la différence. Une communication claire et ouverte est la base pour éviter les malentendus et maintenir un lien de confiance, assurant un retour constructif pour vous et bénéfique pour toute l'équipe.
Le retour au travail après un congé maternité est un moment charnière. C'est bien plus qu'une simple reprise : c'est une phase de transition où il faut réinventer l'équilibre entre la carrière et une nouvelle vie de famille. Heureusement, la législation belge a prévu plusieurs dispositifs pour accompagner les parents en douceur.
Ces options permettent d'ajuster le temps de travail pour une reprise progressive, adaptée aux nouveaux besoins. Que l'idée soit de réduire temporairement ses heures ou de trouver une organisation plus souple, des solutions concrètes existent.

Le congé parental est sans doute le mécanisme le plus connu et le plus utilisé, et pour cause : sa flexibilité est son plus grand atout. Il permet de suspendre ou de réduire temporairement ses prestations pour s'occuper de son enfant.
Plusieurs formules sont possibles, à moduler selon les besoins et la situation professionnelle :
Pendant ce congé, le salaire est suspendu, mais une allocation d'interruption est versée par l'ONEM pour compenser la perte de revenus.
Au-delà du très populaire congé parental, d'autres pistes méritent d'être explorées pour un retour qui vous ressemble. Le crédit-temps, par exemple, est une autre forme d'interruption de carrière qui, sous certaines conditions d'ancienneté, permet aussi d'aménager son rythme de travail.
Une autre option, souvent moins connue, est le congé d'allaitement. Si le poste occupé présente un risque avéré pour la santé de la mère ou de l'enfant allaité, un écartement du travail est possible. Dans ce cas, des indemnités sont versées par la mutuelle.
La tendance est claire : les femmes restent les principales bénéficiaires de ces dispositifs. En avril 2025, elles représentaient 59,2 % des allocataires des régimes de crédit-temps et congés thématiques. La Flandre se démarque, concentrant 68,9 % des utilisateurs au niveau national.
Pour l'entreprise, anticiper ces aménagements est crucial. Une bonne gestion des congés et absences permet d'assurer une planification efficace et de maintenir la continuité des opérations.
Cette période post-natale est intense. Pour vous aider à y voir plus clair et à préparer sereinement votre retour, n'hésitez pas à consulter ce guide complet sur la naissance et le post-partum. Chaque option a ses propres conditions d'accès, impacts financiers et démarches administratives. Prenez le temps de bien vous informer auprès de votre employeur et de l'ONEM pour choisir la solution vraiment adaptée à votre nouvelle réalité familiale et professionnelle.
Même si le cadre du congé maternité en Belgique est bien défini, la réalité du terrain soulève souvent des questions très spécifiques. C'est tout à fait normal. Que vous soyez employée ou employeur, cette section est là pour répondre aux interrogations les plus courantes et vous aider à traverser cette période en toute sérénité.
L'une des plus grandes angoisses pour une future maman est bien sûr la sécurité de son emploi. Rassurez-vous, la loi belge est particulièrement protectrice à ce sujet.
Puis-je être licenciée pendant ma grossesse ou mon congé ?
La réponse est non. Vous bénéficiez d'une protection légale contre le licenciement dès l'instant où votre employeur est officiellement au courant de votre grossesse. Cette protection en béton se prolonge jusqu'à un mois après la fin de votre congé maternité.
Un licenciement n'est envisageable que pour des motifs graves qui n'ont absolument aucun lien avec votre grossesse.
La grossesse n'est pas toujours un long fleuve tranquille. Des complications ou des imprévus peuvent survenir, et il est essentiel de comprendre comment ces situations s'articulent avec votre congé.
Que se passe-t-il si je tombe malade juste avant mon congé prénatal ?
C'est un cas de figure assez courant. Si vous vous retrouvez en incapacité de travail durant les 6 semaines qui précèdent la date prévue de votre accouchement, ces jours de maladie sont automatiquement convertis en repos prénatal.
Attention, cela signifie qu'ils ne pourront pas être reportés pour prolonger votre congé après la naissance. Seules les semaines de repos prénatal facultatives que vous décidez de ne pas prendre peuvent être ajoutées à votre congé postnatal.
Au-delà des scénarios classiques, il est crucial de savoir que des ressources existent pour des situations plus douloureuses comme une perte de grossesse. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter des informations sur le soutien et les droits en cas de fausse couche ou de deuil périnatal.
Bon à savoir : Le congé maternité est considéré comme une période de travail effectif. Concrètement, cela veut dire que vous continuez à accumuler vos droits aux vacances payées pendant toute sa durée, comme si vous étiez au bureau. Vous ne perdez donc aucun jour de congé légal.
Même si votre contrat de travail est suspendu, un lien professionnel subsiste. Mais où se situe la limite ?
Mon employeur peut-il me contacter durant mon absence ?
Oui, il peut. Un contact occasionnel est tout à fait permis, surtout s'il s'agit de régler des questions importantes ou de préparer votre retour en douceur.
Par contre, votre employeur ne peut en aucun cas exiger que vous réalisiez la moindre tâche professionnelle. La communication doit rester raisonnable et ne jamais perturber votre repos. C'est cet équilibre qui permet de préserver une bonne relation de travail tout en respectant vos droits.
Prêt à révolutionner votre gestion des plannings ?
Shyfter est bien plus qu’un simple outil de planification — c’est une solution complète de gestion du personnel, conçue pour vous faire gagner du temps, réduire le stress et satisfaire à la fois les employeurs et les employés.
