
Nous avons hâte de vous montrer comment Shyfter peut vous faire gagner un temps précieux dans la gestion de vos plannings.
Demander une démoProfitez d’une version complète de Shyfter et commencez à planifier ou suivre le temps de travail en moins de 5 minutes.
Créer un compte gratuitTravailler à distance, c’est avant tout gagner en flexibilité et en qualité de vie.
Fini les heures perdues dans les transports : on peut récupérer jusqu’à 2 heures chaque jour, tout en boostant sa concentration.

Le passage au télétravail transforme profondément les routines en entreprise.
On y découvre une plus grande autonomie… mais aussi des responsabilités nouvelles.
Pour certain·e·s, c’est la liberté retrouvée ; pour d’autres, c’est un défi d’organisation.
« Le télétravail m’a permis de mieux structurer mes journées et d’abaisser significativement mon niveau de stress », témoigne Claire, développeuse frontend.
Pour limiter ces écueils, misez sur :
« Un agenda partagé a vraiment dynamisé nos échanges », ajoute un manager de GreenStart.
Selon nos chiffres internes, 73 % des collaborateur·rice·s se sentent plus efficace à domicile.
Ce modèle fait chuter les retards et favorise une meilleure concentration.
Pour réussir son télétravail, pensez à :
Pour aller plus loin, découvrez notre guide sur la gestion du nouveau mode d’organisation du travail entre homeworking et bureau.
La suite vous plonge dans le cadre légal, la politique interne et les outils indispensables (comme Shyfter) pour structurer votre télétravail.
À vos claviers !
Avant de lancer le télétravail, il est essentiel de maîtriser le cadre légal belge. Trois formules principales existent : télétravail total, télétravail partiel et télétravail ponctuel. Chacune nécessite un accord écrit, signé par le salarié et l’employeur.
L’accord doit préciser :
L’employeur aménage le poste et prend en charge les frais liés (connexion internet, électricité). Au bout de deux à trois mois, un bilan opérationnel permet d’ajuster le dispositif.
Clé : un accord clair écarte jusqu’à 80 % des litiges liés au télétravail.
Selon une étude de Vias et de l’Antwerp Management School, le télétravail structurel concerne 86,1 % des grandes entreprises belges et près de 75 % des PME, pour une moyenne de 2 à 3 jours par semaine. Lire l’étude
Avant toute intégration du télétravail au règlement intérieur, l’employeur consulte le comité pour le bien-être. En pratique, on :
Le salarié peut refuser si son domicile ne répond pas aux critères d’ergonomie et de sécurité. En cas de conflit, un médiateur interne ou externe peut être saisi.
Point clé : la transparence en amont limite fortement les tensions.
Dans une PME bruxelloise, on a ajouté une clause de retour avec un préavis de 48 heures, ce qui a grandement facilité les échanges.
| Acteur | Obligation clé |
|---|---|
| Employeur | Aménagement du poste et prise en charge des frais |
| Salarié | Respect des horaires et sécurité du lieu de travail |
Pour prévenir tout malentendu, l’accord est révisé chaque année ou à la demande de l’une des parties.
Quinze jours avant le démarrage, le comité pour le bien-être reçoit une information détaillée. Une réunion plénière permet de collecter les avis et d’affiner les modalités.
Avec un avis positif, le règlement intérieur est mis à jour et signé. L’ensemble des salariés reçoit alors le document pour information. Un suivi semestriel garantit la conformité et la dynamique d’amélioration continue.
Dans une ETI liégeoise, l’oubli du remboursement des abonnements internet a débouché sur un recours devant le tribunal du travail. La leçon ? Inscrire explicitement les modalités de prise en charge dans l’accord et conserver tous les justificatifs.
En appliquant ces bonnes pratiques, l’entreprise a non seulement réduit les conflits mais aussi renforcé sa transparence.
La prochaine étape consiste à élaborer une politique interne détaillée, en mobilisant vos managers et vos équipes, avec l’appui de l’outil Shyfter.
Instaurer une politique de télétravail, c’est avant tout amorcer un dialogue continu entre les RH et les managers. Ce document pose un cadre clair pour aligner les attentes, les responsabilités et les bonnes pratiques. Il crée aussi les fondations d’un modèle hybride qui tient dans la durée.
Pour démarrer, explorez en priorité les motivations de vos équipes.
Un petit sondage peut révéler qui souhaite télétravailler, pourquoi et à quelle fréquence.
Dans une PME liégeoise, cette démarche a mis en lumière une forte demande pour plus de concentration.
Poursuivez avec des entretiens individuels pour comprendre les contraintes de chacun.
N’oubliez pas d’intégrer un volet sécurité informatique dès cette phase.
Cette cartographie vous aidera à délimiter précisément le périmètre du télétravail.
Vous réduirez ainsi les risques opérationnels liés à cette nouvelle organisation.
Le cadre doit déterminer le nombre de jours maximum en télétravail.
Par exemple, vous pouvez commencer avec 2 jours par semaine pour les fonctions administratives.
Ce seuil pourra être revu au fil des retours d’expérience.
Ajoutez une clause d’exception pour gérer les urgences sans friction.
Cette souplesse rassure vos collaborateurs et évite les incompréhensions.
Selon l’enquête BeMob du SPF Mobilité et Transports, un Belge sur trois télétravaille au moins un jour par semaine en 2025, la majorité optant pour 1 à 2 jours.
Pour aller plus loin, consultez la recherche BeMob.
Pour valider une demande de télétravail, simplifiez le parcours en trois étapes claires :
Ce circuit court accélère la prise de décision et renforce la transparence.
Chaque télétravailleur doit bénéficier d’un poste conforme aux normes d’ergonomie et de sécurité.
La politique précise ce que l’entreprise fournit et ce que le salarié prend en charge.
Une PME bruxelloise a intégré ces règles directement dans son règlement intérieur.
| Équipement | Fournisseur | Coût partagé |
|---|---|---|
| Ordinateur fixe | Entreprise | 100 % |
| Chaise ergonomique | Partagé | 50/50 |
| Écran supplémentaire | Entreprise | 100 % |
| Internet haut débit | Salarié | Remboursé |
| Casque audio | Partagé | 50/50 |
Ce tableau sert de base lors de l’audit matériel et de la facturation interne.
Mettre à disposition un kit complet réduit de 30 % les demandes d’ajustement en cours d’année.
Une fois la charte validée, laissez-la infuser dans l’entreprise via plusieurs canaux.
Organisez une réunion de lancement pour présenter le document et répondre aux questions.
Ajoutez un guide de poche pour que chacun l’ait sous la main.
Un canal Slack dédié ou Teams facilite les échanges en continu.
Transparence et accessibilité renforcent l’adhésion.
Les managers sont les relais naturels de cette politique.
Ils traduisent la vision de la direction et accompagnent leurs équipes.
Une approche participative renforce la cohésion et la confiance mutuelle.
Ne laissez pas votre politique se figer : programmez un suivi régulier.
Chaque trimestre, évaluez la satisfaction, le respect des règles et la performance.
Ces données vous permettront de faire évoluer la charte et de maintenir son efficacité.
En adoptant ces bonnes pratiques, vous vous assurez d’une politique de télétravail claire, motivante et durable.
Vos équipes gagneront en autonomie tout en restant pleinement engagées.
Bonne mise en œuvre !
Le télétravail ne s’improvise pas : il repose sur un équipement et des applications bien choisis. Sans un bon setup, on se retrouve vite dispersé, fatigué et moins performant.
Pour vous guider, voici un tour d’horizon des catégories d’outils plébiscitées par les télétravailleurs belges :
Pour rester agile et éviter l’encombrement, misez sur trois applications clés au maximum.
Pour vous repérer, voici un comparatif des outils de télétravail les plus prisés :
Comparatif des outils de télétravail
| Outil | Fonctionnalités principales | Avantages | Budget mensuel |
|---|---|---|---|
| Zoom | Vidéo HD, partage d’écran, enregistrement | Installation rapide, fiabilité | 10 € |
| Microsoft Teams | Chat, collaboration Office, intégrations | Intégré à Office 365, sécurité renforcée | Inclus dans Office 365 |
| Google Workspace | Drive, Meet, Docs collaboratifs | Stockage illimité, synchronisation fluide | 6 € par utilisateur |
| Trello | Gestion de tâches visuelles | Interface légère, hautement personnalisable | Gratuit ou 5 € |
Ce panorama offre une vue d’ensemble pour aligner vos choix sur vos besoins et votre budget.
Dans cette catégorie, rien ne vaut un duo fiable pour échanger et construire ensemble. Zoom et Microsoft Teams dominent le secteur en matière de visioconférence, tandis que Google Workspace et Office 365 consolident vos documents, agendas et mails au même endroit.
“La mise en place de canaux Slack thématiques a réduit nos échanges superflus de 25 %”, confie un chef de projet à Bruxelles.
Protéger vos données n’est pas une option. Un VPN robuste comme NordVPN Teams ou OpenVPN chiffre vos connexions et garantit la confidentialité de vos échanges professionnels.
Découvrez ci-dessous le processus de télétravail vu par vos pairs, illustrant chaque étape cruciale :

Cette infographie synthétise trois phases essentielles :
Structurer son travail, c’est d’abord savoir où l’on va. Les outils de mind-mapping tels que XMind ou MindMeister aident à clarifier vos idées.
Ensuite, Asana ou Monday.com offrent un suivi précis avec des timelines et des alertes automatiques. Cette méthode a fait ses preuves pour réduire le risque d’oubli et répartir clairement les responsabilités.
Pour affiner votre gestion du temps, explorez notre guide sur la gestion du temps et meilleure productivité.
Limiter le nombre d’applications, c’est se préserver d’une usine à gaz numérique.
La motivation en home office s’entretient au quotidien. Pour contrer la routine, variez les outils et invitez la convivialité.
Avec un set-up épuré et optimisé, le télétravail devient un véritable atout, tant pour l’entreprise que pour chaque collaborateur. Essayez, ajustez, et constatez la différence !

Le télétravail s’appuie avant tout sur la confiance mutuelle et la clarté des échanges. Un flux de communication bien nourri limite immédiatement les quiproquos et encourage l’autonomie de chacun.
Quelques repères structurés offrent un cadre rassurant. Sans tomber dans la rigidité, ces routines deviennent des points d’ancrage pour l’équipe.
Dans une PME liégeoise, le lancement d’un daily stand-up de 15 minutes a fait chuter de 40 % le volume d’e-mails inutiles. Chacun y partage son avancement et ses blocages en toute transparence.
En alternant formats synchrones et asynchrones, on optimise le calendrier de tous. Un canal d’urgence sur Slack évite le piège des réunions à répétition.
Par exemple, une équipe marketing a décidé de générer 20 leads qualifiés en quatre semaines. Ce cadre strict a fait grimper la conversion de 15 %.
En affichant ces indicateurs dans un tableau Shyfter, on met tout le monde sur la même longueur d’onde et on valorise chaque progrès.
Dans une équipe commerciale, un point hebdomadaire en visioconférence a dopé le taux de succès des offres de 25 %. Des badges virtuels distribués en direct ont, eux, boosté la motivation.
Enrichissez le tout par un atelier de co-développement à distance : chacun y partage ses bonnes pratiques et ses leçons apprises.
Key takeaway : un feedback régulier, dosé et équilibré, porte autant que des objectifs clairs.
À Bruxelles, une start-up a nommé un coach interne : résultat, l’attrition a reculé de 18 % en six mois. Ces moments partagés renforcent la solidarité et la résilience du groupe.
En mixant ces approches, vous bâtissez un environnement propice à la performance… et au bien-être. Le management à distance devient alors un levier puissant pour fédérer vos équipes, où qu’elles soient.
Avant de clore la séance, invitez régulièrement vos collaborateurs à formuler des suggestions via Shyfter.
« La co-création de rituels a été décisive pour notre équilibre », confie Sophie, HR manager.
Enfin, servez-vous de Kudos sur Teams pour saluer publiquement chaque succès. Mettez ces retours en pratique et mesurez leur impact… toujours grâce à Shyfter.
Pour piloter un projet à distance, rien ne vaut des indicateurs clairs. Shyfter vous facilite la vie avec un planning intelligent et un pointage mobile. Ainsi, vous suivez en temps réel le temps passé et la charge de travail pour télétravailler en toute sérénité.
Une analyse régulière met rapidement en lumière les points à améliorer avant qu’ils ne se transforment en problèmes.
Un tableau de bord partagé centralise les données de chaque collaborateur. Veillez à y inclure :
La capture ci-dessous montre le dashboard Shyfter avec ces indicateurs.
On y repère une hausse de 15 % des heures actives et une baisse de 20 % des retards.
Les résultats servent de boussole pour ajuster votre politique de télétravail. Pour cela :
Vous pouvez aussi consulter notre guide Shyfter sur comment mesurer la productivité au travail.
Insight clé : un pilotage visuel réduit les écarts de planning de 30 %.
À Liège, une PME a adopté Shyfter pour coordonner ses équipes hybrides. En trois mois, la productivité collective a augmenté de 25 %, et la coordination entre ateliers et bureaux s’est nettement améliorée.
« Grâce à un suivi transparent, nos managers gagnent du temps et limitent les doublons », explique Céline, responsable RH.
Ce retour d’expérience illustre combien il est essentiel de mesurer et d’ajuster pour optimiser le télétravail.
Pour répartir équitablement les missions, détaillez les tâches assignées à chaque collaborateur. Les graphiques dynamiques :
Ces indicateurs préservent l’équilibre des équipes et préviennent l’épuisement.
Intégrez ce suivi à vos rituels pour maintenir une amélioration continue :
Cette approche rend votre politique de télétravail plus agile et réactive.
Mobilisez vos équipes, mesurez régulièrement et ajustez sans attendre pour transformer le suivi en levier durable.
Choisissez une fréquence de reporting adaptée à votre rythme de projet et testez différentes vues du dashboard pour affiner vos décisions.
Grâce à ce processus, le télétravail devient plus prévisible et motivant pour vos équipes. Passez à l’action dès aujourd’hui.
Les questions fusent dès qu’on évoque le télétravail. On entend souvent parler d’éligibilité, de matériel ou de sécurité des données. Avant toute chose, salarié et employeur doivent vérifier s’ils répondent aux mêmes critères.
Pour déterminer si un poste peut basculer en télétravail, on regarde surtout la nature des missions et les outils disponibles. L’employeur évaluera la charge de travail, l’aménagement éventuel de l’espace et les compétences numériques requises.
Le coup d’envoi se fait généralement par une demande formelle.
Le salarié remplit un formulaire interne, décrit son mobilier et son réseau Internet.
L’employeur valide ensuite l’ergonomie du poste et la qualité de la connexion.
Un avenant écrit vient sceller l’accord :
Ce document est indispensable pour éviter tout malentendu.
Un poste bien pensé diminue les douleurs musculo-squelettiques. Voici ce que votre entreprise peut prendre en charge :
| Équipement | Prise en charge |
|---|---|
| Chaise ergonomique | 100 % entreprise |
| Bureau assis-debout | jusqu’à 75 % |
| Écran externe | 100 % entreprise |
| Connexion Internet | plafond de 50 €/mois |
Pensez à alterner entre clavier et souris externes pour prévenir les tensions.
Ces réflexes simples renforcent la protection des données.
En instaurant ces routines, le télétravail devient plus harmonieux.
« Une FAQ claire réduit de 30 % les questions récurrentes », observe Anne, responsable RH.
N’hésitez pas à ajuster cette FAQ avec votre service RH. Les retours du terrain et l’évolution légale nourriront en continu vos bonnes pratiques.
Et pour centraliser toutes vos questions, intégrez Shyfter à votre gestion documentaire !
Prêt à révolutionner votre gestion des plannings ?
Shyfter est bien plus qu’un simple outil de planification — c’est une solution complète de gestion du personnel, conçue pour vous faire gagner du temps, réduire le stress et satisfaire à la fois les employeurs et les employés.
