Jours fériés restauration : Le guide RH pour une organisation optimale

Publié le
1/10/2025
Jours fériés restauration : Le guide RH pour une organisation optimale
En 20 minutes, on vous explique tout.

Nous avons hâte de vous montrer comment Shyfter peut vous faire gagner un temps précieux dans la gestion de vos plannings.

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En restauration, la simple mention des jours fériés suffit souvent à provoquer des sueurs froides chez les managers. On vous comprend : entre les plannings qui virent au casse-tête, les calculs de paie qui se compliquent et les subtilités de la convention HCR, on peut vite se sentir submergé.

Pourtant, avec une bonne organisation et une approche RH moderne, ces journées peuvent devenir de véritables boosters pour votre chiffre d'affaires.

Et si les jours fériés devenaient vos meilleurs alliés ?

Arrêtons de voir les jours fériés comme une simple contrainte administrative. Voyons-les plutôt comme ce qu'ils sont réellement : un levier stratégique pour votre restaurant.

Ce sont des moments clés où la demande explose. Les familles veulent se retrouver autour d'une bonne table, les touristes cherchent une expérience locale, et tout le monde profite de son temps libre. C'est une occasion en or de faire salle comble, de maximiser vos revenus et, pourquoi pas, de fidéliser de nouveaux clients qui reviendront.

Bien sûr, pour saisir cette opportunité, il faut s'y préparer un minimum. Une gestion hasardeuse, et c'est la catastrophe assurée : équipes surmenées, clients qui repartent déçus, et des erreurs coûteuses qui se glissent sur les fiches de paie. L'enjeu est donc double : performer économiquement, tout en assurant un environnement de travail juste et motivant pour vos équipes.

Ce guide a été pensé pour vous donner des clés concrètes, des stratégies que vous pourrez appliquer dès demain. On va décortiquer ensemble les points essentiels pour que chaque jour férié soit un succès.

Les clés pour maîtriser le jeu

Pour y arriver, pas de secret : il faut une approche structurée. Cela repose sur plusieurs piliers que vous devez maîtriser.

  • Le cadre légal, votre bouclier : Avant toute chose, il faut comprendre les règles du jeu, notamment celles de la convention HCR. Une bonne connaissance vous évitera des erreurs de paie et d'éventuels litiges. C'est la base.

  • La planification, votre boussole : Anticipez les pics d'activité. Regardez le calendrier, analysez les tendances des années passées, les ponts, les événements locaux... C'est ce qui vous permettra d'ajuster vos stocks, vos menus et vos effectifs.

  • Les plannings, votre chef-d'œuvre : L'objectif est de créer des horaires équilibrés. Il faut assurer une couverture parfaite sans pour autant épuiser vos équipes. La communication et un peu de flexibilité seront vos meilleurs atouts.

  • La motivation, votre carburant : N'oubliez jamais que vos collaborateurs font un effort supplémentaire. Reconnaître ce travail avec une rémunération juste et des petites attentions fait toute la différence. Une équipe motivée est une équipe performante.

En maîtrisant ces quatre piliers, vous transformerez la gestion des jours fériés en restauration d'un défi logistique en un avantage concurrentiel indéniable. Pour aller plus loin sur les spécificités du secteur, jetez un œil à nos conseils dédiés à la gestion du personnel en restauration HCR ; ils vous aideront à affiner vos processus au quotidien.

Décrypter le cadre légal des jours fériés en HCR

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Pour piloter la gestion des jours fériés en restauration sans faux pas, une connaissance pointue du cadre légal est votre meilleur allié. Le secteur HCR (Hôtels, Cafés, Restaurants) obéit à des règles bien spécifiques qui peuvent vite virer au casse-tête si on les survole.

Mettons les choses au clair pour vous éviter des erreurs coûteuses et des conflits inutiles.

La toute première chose à savoir, c'est le statut à part du 1er mai. Contrairement aux dix autres jours fériés légaux, la Fête du Travail est le seul jour qui doit obligatoirement être chômé, d'après le Code du travail. Si votre activité vous oblige à rester ouvert ce jour-là, la règle est simple et non négociable : la rémunération est doublée.

Pour tous les autres jours fériés, la situation est plus nuancée. Tout dépend de l’ancienneté de vos salariés.

Le principe des jours fériés garantis : qu'est-ce que ça change ?

La convention collective HCR a introduit une notion essentielle : les jours fériés garantis. Cette spécificité, qui ne concerne que les salariés ayant au moins un an d'ancienneté dans votre établissement, leur accorde un traitement spécial pour certains jours fériés de l'année.

Concrètement, vos salariés avec plus d'un an d'ancienneté ont droit à 10 jours fériés par an, en plus du 1er mai. Sur ces 10 jours, la convention HCR en "garantit" 6. Mais attention, "garanti" ne veut pas dire que le salarié doit absolument être en repos ce jour-là.

Le concept de "jour férié garanti" vise à s'assurer que le salarié ne subisse aucune perte, que ce soit en temps de repos ou en salaire. S'il travaille, il est compensé. S'il est en repos, il ne perd rien. C'est un principe d'équité fondamental pour une bonne gestion humaine.

Cas pratiques pour y voir plus clair

Rien de tel que des exemples concrets pour bien comprendre la différence de traitement et l'appliquer correctement à la paie.

  • Scénario 1 : Le 1er mai
    Votre chef de cuisine, qui a 3 ans d'ancienneté, travaille le 1er mai. Sa journée de travail doit impérativement être payée double. Il n'y a aucune alternative, comme un repos compensateur. C'est une obligation légale de majoration de salaire.

  • Scénario 2 : Le 15 août (un jour férié garanti)
    Ce même chef travaille le 15 août. Cette fois-ci, vous devez lui donner une journée de repos en compensation. Si, par hasard, le 15 août était tombé sur son jour de repos hebdomadaire habituel, aucune compensation n'aurait été nécessaire.

  • Scénario 3 : Un autre jour férié (non garanti)
    Si un salarié avec plus d'un an d'ancienneté travaille un jour férié ordinaire qui ne fait pas partie des 6 garantis, il a aussi droit à un jour de compensation. S'il ne travaille pas, le jour est simplement chômé et payé normalement, sans autre formalité.

Ces petites subtilités sont déterminantes pour votre gestion de la paie et l'élaboration de vos plannings. Elles impactent directement l'organisation du temps de travail et du repos des équipes, un sujet étroitement lié à la gestion globale des absences.

Pour aller plus loin, nous vous conseillons de lire notre article sur la gestion des congés payés en restauration, qui complète parfaitement ces informations.

Anticiper les pics d'activité pour maximiser les revenus

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La gestion des jours fériés en restauration ne s'improvise jamais à la dernière minute. C'est le fruit d'une préparation stratégique, pensée des semaines, voire des mois, en amont. L'objectif est clair : transformer ce flux de clients prévisible en une rentabilité maximale, sans jamais rogner sur la qualité du service.

Cette anticipation est bien plus qu'une simple précaution, c'est un véritable levier de croissance. En France, le secteur de la restauration bouillonne littéralement lors de ces occasions spéciales. Le Groupement national des indépendants de l’hôtellerie et de la restauration (GHR) estime que certains jours fériés génèrent un surcroît moyen d’activité de 25 %.

Ce n'est pas rien. À l'échelle nationale, cela représente un potentiel de près de 200 millions d’euros de recettes supplémentaires. Pourquoi ? Parce que ces journées sont synonymes de repas en famille, d'amis qui se retrouvent et d'escapades touristiques. Saisir cette opportunité financière exige une préparation sans faille.

Analyser et prévoir la demande client

Votre première mission ? Devenir un expert de votre propre établissement. Plongez dans vos archives et vos données historiques. Quels chiffres avez-vous réalisés lors des précédents week-ends de Pâques, du 14 juillet ou du 15 août ? Repérez les tendances, les plats qui ont cartonné, les services qui ont été les plus chargés.

Mais regarder dans le rétroviseur ne suffit pas. Le contexte extérieur est tout aussi crucial.

  • La position dans le calendrier : Un jour férié qui tombe un mardi ou un jeudi, c'est la promesse d'un "pont". La forte affluence ne se limitera pas à une seule journée, mais s'étalera sur trois ou quatre jours. Un lundi de Pentecôte n'aura pas le même impact qu'un jeudi de l'Ascension.

  • La météo : Un week-end de Pâques ensoleillé ? Votre terrasse va être prise d'assaut. Une Toussaint pluvieuse ? Les clients chercheront une ambiance chaleureuse à l'intérieur. Vos prévisions doivent s'adapter en temps réel.

  • Les événements locaux : Y a-t-il un festival, un marché de Noël ou une compétition sportive en ville ? C'est une manne de clients potentiels qu'il faut absolument capter.

Anticiper la demande, c'est comme lire une carte avant de partir en road trip. Ça vous permet non seulement d'arriver à destination (la rentabilité), mais aussi d'éviter les pannes sèches (ruptures de stock) et les sorties de route (personnel débordé). Au final, tout le monde profite du voyage, surtout vos clients.

Adapter l'offre et les approvisionnements

Une fois que vous avez une idée plus claire de l'affluence attendue, il est temps de repenser votre offre. Proposer un menu spécial pour un jour férié n'est pas seulement un excellent coup marketing ; c'est aussi une manœuvre logistique brillante.

Un menu unique ou à choix restreint, comme un "Menu Spécial Fête des Mères", offre des avantages considérables :

  • Ça simplifie la vie en cuisine : Moins de préparations différentes permettent à votre brigade de gagner en vitesse et en efficacité, même pendant le plus gros coup de feu.

  • Ça optimise les commandes : Vous pouvez commander vos matières premières en plus grande quantité et avec une précision redoutable, ce qui réduit le gaspillage et le risque de rupture.

  • Ça fluidifie le service en salle : Vos serveurs connaissent le menu sur le bout des doigts, la prise de commande est plus rapide, et les plats sortent plus vite.

Cette approche est votre meilleure alliée pour maintenir un niveau de qualité irréprochable face à un volume de clients exceptionnel. C'est un point essentiel pour garantir leur satisfaction et récolter des avis positifs. Pour aller plus loin, jetez un œil à notre guide pour optimiser votre planning pendant les fêtes.

Créer un planning d'équipe juste et performant

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Le planning, c'est le véritable pilier d'un service réussi pendant un jour férié. Une mauvaise organisation, et c'est tout le service qui risque de s’effondrer en plein rush. Alors, comment garantir une couverture parfaite sans pour autant épuiser vos équipes ? La solution réside dans une approche plus humaine, équitable et surtout, terriblement efficace.

Le secret, c'est la communication proactive. Plutôt que d'imposer un planning vertical, impliquez vos collaborateurs bien en avance. Lancez un petit sondage quelques semaines avant la date fatidique pour connaître leurs préférences et leurs contraintes personnelles.

Cette simple démarche montre que vous respectez leur équilibre vie pro/vie perso, et en plus, elle vous donne des informations précieuses pour construire un planning qui fonctionne pour tout le monde.

Mettre en place un système de rotation équitable

Pour éviter que ce ne soient toujours les mêmes qui se dévouent pendant les jours fériés, un système de rotation est tout simplement indispensable. La charge de travail liée aux jours fériés en restauration doit être répartie le plus justement possible tout au long de l'année.

C'est là qu'un outil de planification moderne devient votre meilleur allié. Il vous aide à visualiser en un clin d'œil qui a travaillé lors des derniers jours fériés, assurant une répartition claire et transparente pour tout le monde.

Voici quelques pistes pour structurer cette rotation :

  • Faites un suivi annuel : Gardez une trace simple de qui a travaillé à Pâques, à la Pentecôte ou au 15 août. Ça permet d'équilibrer la charge sur toute l'année.

  • Priorisez les volontaires : Donnez la priorité à ceux qui se portent volontaires, souvent en échange d’une compensation intéressante ou d'un autre jour de congé à poser quand ils le souhaitent.

  • Alternez systématiquement : Pour les postes clés, assurez-vous qu'un collaborateur qui a travaillé le 14 juillet soit prioritaire pour avoir son 15 août, par exemple. C'est du bon sens, mais ça change tout.

Un planning juste, ce n'est pas seulement une question de respect de la loi. C'est le reflet de votre culture d'entreprise. Quand les équipes sentent que l'effort est partagé équitablement, leur engagement et leur motivation grimpent en flèche, même lors des services les plus intenses.

Gérer les ponts et les imprévus avec agilité

Ah, les fameux "ponts" de mai ou de novembre... Ils sont souvent un casse-tête. Quand un jour férié tombe un jeudi, beaucoup de salariés en profitent pour poser leur vendredi et s'offrir un week-end de quatre jours. Pour la restauration, c'est une double peine : moins de personnel dispo et plus de clients qui sortent.

Imaginez le scénario catastrophe : votre chef de partie vous appelle, malade, le matin du 14 juillet. Pas de panique. Un bon planning intègre toujours un plan B. Avoir sous la main une liste de "remplaçants volontaires" (des extras ou des temps partiels) joignables rapidement peut littéralement vous sauver la mise.

Pour maîtriser l'art de l'organisation, jetez un œil à notre guide détaillé qui vous explique comment faire un planning d'équipe efficace. Un outil de planification comme Shyfter vous aidera à visualiser les disponibilités, à éviter les conflits d'horaires et à garantir la conformité avec les temps de repos légaux. La gestion des imprévus devient tout de suite beaucoup plus sereine.

Gérer la paie et motiver vos équipes pendant ces périodes

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On ne va pas se mentir : travailler quand la plupart des gens se reposent, ça demande un effort supplémentaire. Savoir reconnaître cet engagement, c'est la clé pour garder vos meilleurs éléments et maintenir une bonne ambiance, surtout pendant les gros rushs des jours fériés en restauration. Tout repose sur deux piliers : une paie carrée et une motivation sincère.

Et la motivation, ce n'est pas juste un "merci" lancé à la fin du service. Elle doit prendre la forme d'actions concrètes qui montrent à vos équipes que leur effort est vraiment apprécié.

Au-delà du salaire, les vrais leviers de motivation

Payer ce qui est dû, c'est la base, le strict minimum. Mais pour vraiment donner un coup de boost au moral des troupes, il faut voir plus loin. Pensez à des gestes qui ont un impact direct sur le quotidien et le portefeuille de vos collaborateurs.

Voici quelques pistes qui fonctionnent, testées et approuvées sur le terrain :

  • Instaurer des primes exceptionnelles : Une prime spécifique pour le travail un jour férié, c'est un signal fort. Ça matérialise la reconnaissance de l'effort et ça motive, tout simplement.

  • Jouer la carte de la transparence sur les pourboires : Assurez-vous que le partage est équitable et que tout le monde comprend les règles. C'est un complément de revenu important qui récompense directement la qualité du service.

  • Offrir des avantages qui comptent : Proposer le repas du staff, des titres-restaurant pour les jours travaillés, ou même organiser un petit-déjeuner d'équipe avant le coup de feu... ce sont ces petites attentions qui font la différence.

  • Soigner la communication : Mettez en avant le travail de ceux qui sont sur le pont. Un mot personnalisé, une mention pendant le briefing… Ces gestes simples renforcent le sentiment d'appartenance comme jamais.

Reconnaître l'engagement de vos équipes pendant les jours fériés n'est pas une dépense, c'est un investissement. Une équipe qui se sent valorisée est plus performante, plus soudée et plus fidèle. Au final, ça réduit le turnover et ça garantit une meilleure expérience client.

Assurer une gestion de la paie irréprochable

Une seule erreur sur la fiche de paie, et tous vos efforts de motivation peuvent tomber à l'eau. La rigueur est donc de mise, surtout avec le casse-tête que peuvent représenter les jours fériés.

Le calcul doit être chirurgical. Pensez à bien intégrer l'indemnité spécifique pour le travail du 1er mai, qui équivaut à une majoration de 100 % du salaire de la journée. Et bien sûr, suivez de près les jours de repos compensateur dus pour les autres jours fériés travaillés.

Une gestion administrative impeccable est une marque de respect. Pour éviter les oublis, il est essentiel de maîtriser les règles du jeu ; notre article détaillé sur la date limite de paiement du salaire peut d'ailleurs vous éclairer sur ce point crucial. Un bon outil de planification et de gestion RH peut automatiser une bonne partie du suivi et limiter les risques d'erreur. C'est la base pour construire une relation de confiance qui dure.

Conclusion : faites des jours fériés un levier de croissance pour votre restaurant

Bien gérés, les jours fériés en restauration ne sont plus un casse-tête logistique, mais une véritable opportunité. C'est en maîtrisant la législation, en planifiant rigoureusement et en valorisant vos équipes que vous transformerez cette contrainte en un avantage concurrentiel certain.

Le secret, c'est de trouver le juste milieu entre performance économique et bien-être de votre personnel. Il ne s’agit pas seulement de cocher les cases de la loi, mais bien de construire une culture d’entreprise où l’effort est vu, reconnu et récompensé. Chaque jour férié réussi est une victoire qui booste votre chiffre d'affaires, mais aussi votre réputation et la cohésion de votre brigade.

Voir la gestion des jours fériés comme un investissement stratégique, c'est comprendre que ses retombées se font sentir toute l'année. Une équipe motivée et une organisation au cordeau sont les meilleurs ingrédients de votre succès.

Ce travail de planification et de management est fondamental. Pour aller plus loin et optimiser tous vos processus RH, de la création des plannings à la gestion des absences, jetez un œil aux solutions de Shyfter. Elles sont pensées pour simplifier le quotidien des managers du secteur HCR.

Les questions que vous vous posez sur les jours fériés en restauration

Pour boucler la boucle, passons en revue les questions qui reviennent le plus souvent dans la bouche des managers du secteur HCR. Voici des réponses claires pour y voir plus clair.

Le jour de repos compensateur est-il systématique ?

Oui, la compensation est la norme pour tout salarié ayant plus d'un an d'ancienneté qui met la main à la pâte durant un des jours fériés garantis par la convention HCR. La seule exception reste le 1er mai.

Attention toutefois : si le jour férié tombe sur un jour de repos hebdomadaire habituel de votre employé, aucune compensation n'est requise. Le 1er mai, quant à lui, est un cas à part, avec sa règle non négociable : une majoration de salaire de 100 %. C'est la loi.

Comment ça se passe pour un salarié à temps partiel ?

Le temps partiel ne change rien à l'affaire. Un salarié à temps partiel a exactement les mêmes droits que ses collègues à temps plein.

Si un jour férié coïncide avec une de ses journées de travail prévues au planning, il doit être chômé et payé normalement. S'il vient travailler, les mêmes règles de compensation s'appliquent. Simple, non ?

En revanche, si ce jour férié tombe un jour où il n'aurait de toute façon jamais travaillé, il ne bénéficie d'aucune compensation. C'est logique.

Un salarié peut-il refuser de travailler un jour férié ?
Non, sauf pour le 1er mai. Pour tous les autres jours fériés, un refus peut être vu comme une absence injustifiée, à condition bien sûr que le planning ait été communiqué dans les règles de l'art, suffisamment à l'avance.


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